Vératres

A TOUS LES AMAPIENS

L'alpage a perdu une bataille !

Mais l'alpage n'a pas perdu la guerre !

Après un état des lieux à l'alpage de Joigny, il semble que l'ennemi (les vératres) tente de reprendre le terrain que nous avons gagné ces deux dernières années.Cependant, rien n'est perdu ! Rien n'est perdu parce que cette guerre est une guerre mondiale !

Cette année encore, nous unirons nos forces pour aller batailler contre cette plante invasive, à l'alpage d'Aline et Olivier Masson, aux granges de Joigny. Cette plante de montagne, semblable à la gentiane jaune, est toxique pour les bêtes qui en raffolent pourtant et fait pourrir le foin pour l'hiver.Sus à l'ennemi ! Comme ces deux dernières années, AMAPiens et vératres se retrouveront donc sur le champ de bataille, à Joigny, le WE du 26 et 27 Mai. Le RDV est donné le samedi à 15h à Joigny. La bataille se poursuivra le dimanche, toute la journée, RDV à 9h30. Les troupes volontaires pourront bivouaquer sur place. Vous pouvez bien sur venir indépendamment à chaque journée.

Pour une bataille bien menée, nous attendrons les commandants Masson, à l'alpage, afin d'établir un plan d'attaque efficace, en fonction des forces en présence. L'an dernier, nous avons remarqué une invasion par un col, vers le mont Joigny. Nous nous attaquerons donc cette année à ce nid de vératres afin de couper toute source d'approvisionnement de nouvelles plantes. Nous attaquerons avec des débrousailleuses car l'ennemi y est très dense ! La bataille dans les prés se fera avec les piochons habituels.

Les volontaires pourront prendre un remontant lors d'un pique nique partagé le samedi soir ainsi que le dimanche midi, à l'alpage.

Merci de compléter le tableur editgrid en conséquence.

Merci de prévenir et de motiver vos AMAPiens pour lever la plus belle armée possible et merci d'avance pour votre participation à la plus chouette des batailles avec une des plus belles vues de chartreuse !

Luttons pour sauver l'alpage !

Vive l'alpage !

Clément D, référent fumier/vératres

PS : Merci au général de Gaulle pour m'avoir inspiré ce discours.